Le Pas du cheval
Au Bourda, il n’y a pas d’impératif de temps, de notion de rendement à l’heure ou à l’hectare. Cécile s’autorise d’autant plus à atteler ses deux passions. Les chevaux et la vigne.
Au Bourda, il n’y a pas d’impératif de temps, de notion de rendement à l’heure ou à l’hectare. Cécile s’autorise d’autant plus à atteler ses deux passions. Les chevaux et la vigne.
C’est un objectif à moyen terme, un vrai choix d’exploitant agricole, il n’y a là aucun folklore.
Demeure peut-être, et c’est tant mieux, un Idéal, une poésie visuelle, sonore et olfactive du paysan œuvrant dans un silence retrouvé, à peine troublé par le froissement de la terre, le tintement de l’outil sur l’attelage, marchant à pas compté dans les vapeurs odorantes des cuirs et d’un souffle tiède.
Une passion « hors d’âge », pour pousser la métaphore, que Cécile a souhaité associer étroitement au projet, jusque sur l’étiquette, jusqu’à l’identité du Domaine.
Indissociables de l’ouvrage à accomplir, les chevaux le sont assurément. Ils sont le temps et la lenteur, ils sont l’histoire et la patience. Ils sont le moteur et la force.
Le temps d’élever, de planter, de dresser…
A l’Airial on cultive l’éloge de la lenteur.
Explorer →